Le menhir du Reun
- Être Ici Maintenant

- 19 sept.
- 2 min de lecture

Lors du stage "Géobiologie Sacrée : les Celtes et l'Atlantide" dans le Finistère, en juin 2025, nous avons étudiés ce menhir ainsi que d'autres mégalithes très proches de ce lieu.
Etymologie/toponymie
Le menhir du Reun (tertre, colline en breton) est aussi appelé aussi menhir de Skividan (en breton « lieu où abonde le sureau »), est un menhir situé sur le territoire de la commune de Treffiagat.
Treffiagat dérive de « Tref » désignant une paroisse ou entité administrative bretonne (trève) ou du breton « treb » = « village » et de Riagat. Saint Riagat (du vieux breton « ri » = « roi » et « cat » = « combat ») est un « abbé » irlandais du Vème siècle qui quitta sa patrie et vint aborder en Cornouaille, dans le petit port de Léchiagat.
Histoire/archéologie
Le site a été fouillé par Paul du Châtellier vers 1880. L'édifice est classé monument historique par décret du 4 novembre 1975.

Le menhir mesure environ 6 m de hauteur pour une largeur supérieure à 2 m et une épaisseur inférieure à 1 m.
La fouille de du Châtellier a mis en évidence l'existence d'une fosse de calage qui fut creusée sur plus de 4 m de long, environ 3 m de large et un peu moins 1 m de profondeur dans le substrat rocheux. Le menhir a été calé dans cette fosse par un empilement de petits blocs de pierre.
Un petit matériel archéologique a été découvert lors de la fouille par du Châtellier : deux percuteurs, divers éclats de silex, deux armatures de flèche tranchantes en quartz et des tessons d'une poterie grossière.
Le menhir a été érigé au sommet d'une petite hauteur dominant la petite plaine littorale qui le sépare de la mer, ce que traduit le toponyme « Le Reun » qui désigne un tertre, une éminence rocheuse, en langue bretonne.
Un peu plus à l'est (bord de route opposé à la maison), il existait une allée couverte, fouillée par du Châtellier, désormais totalement ruinée.

En 1967, un fermier découvrit des rochers gravés, étudiés ultérieurement par Pierre Louis Gouletquer. Le site, qui comporte des centaines de cupules (voir document annexe sur les cupules) creusées dans le socle rocheux naturel a été inscrit au titre des monuments historiques en 1974.

Etude des lieux et informations des Présences
Menhir :
Gardien du lieu : Druide atlante
Le gardien précise « 5 géants ont placé 5 menhirs. Celui-là en fait partie ».
Ley-lines Sainte-Trinité et Christique
Pierres avec cupules :
Une participante au stage a eu l’information que les cupules sur ce lieu relatent une histoire, des évènements passés :
"Des pierres et des métaux y étaient placés dedans pour communiquer, initier".
"En lien avec les pyramides".
Serait-ce aussi un système de communication avec les ET ?
Les Présences nous confirment que c'est un lieu de diffusion de connaissances, de connaissances de « leur » civilisation.
J'espère que cet article plus court que d'habitude vous aura plu.
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Christine





Commentaires